Le cimetière militaire,
s'étalant au pied de l'ossuaire,
accueille environ
15 000 tombes, chacune ornée d'un rosier rouge.

Une tourelle abandonnée, cisaillée, sur le champ de bataille...

Témoin de la violence des combats !


Entre l'ossuaire de Douaumont, dont on aperçoit la cheminée dans le lointain, et le fort de Thiaumont, les cavités du terrain pilonné donnent une image très évocatrice de l'intensité de la bataille.
L'ouvrage de Thiaumont occupait une position statégique importante. Simple cube de béton et de maçonnerie, il était doté d'une casemate avec deux pièces de 75, de mitrailleuses et d'un observatoire.
Entre le 23 juin et le 8 août 1916, cet ouvrage change seize fois de mains avant d'être reconquis définitivement par l'armée française le 24 octobre.

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