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Je te reconnais, Jolivet, qui as
été tué à
côté de moi devant la batterie
de l’hôpital en attaquant le fort
de Vaux.
Je te reconnais, Veerkamp, tu es tombé
d’un seul coup sur le ventre. Je vous
reconnais tous, et je vous revois, et je vous
entends. Vous êtes là dans la brume
qui s’avance. Vous êtes dans ma
terre.
Jean
GIONO (Je ne peux pas oublier)
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Au plus profond
du fort de Vaux,
incongrue, étrange et mystique,
apparait une chapelle...
C'est derrière ses murs
qu'ont été déposés
les corps de ceux
qui ont laissé leur vie
dans le fort.
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