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Epilogue (octobre - décembre 1916)

L'heure des petites attaques visant à la reprise de quelques centaines de mètres est passée, le but est maintenant de reconstituer la barrière des forts autour de Verdun.

 

Pendant que le 140e RI cantonne et souffre de la guerre des mines dans la région de Berry-au-Bac, à Verdun, la grande offensive du 24 octobre est déclanchée par une brume opaque. Les Français feront plus de 6000 prisonniers et le fort de Douaumont sera repris.
24 octobre, baionnettes au canon, juste avant l'assaut Gaston Gras, Douaumont, 24 octobre 1916 Ed. Lorraines Verdun canon de marine 240 près du fort de Vaux
Le 24 octobre à 11 heures Fort de Douaumont Canon de marine près du fort de Vaux
Du 28 octobre au 2 novembre : l'artillerie française écrase d’obus le fort de Vaux et ses abords...Se résignant à leur défaite, les Allemands évacuèrent d’eux-mêmes le fort qui leur avait coûté tant de sang à conquérir. Et le 3 novembre, à 2h30 du matin : le lieutenant Diot, à la tête d’une compagnie du 298ème régiment d’infanterie, y pénétrait...
Collection Patrie une galerie du fort de Vaux cliché aérien du fort de Vaux après les bombardements
Collection Patrie Galerie à l'intérieur du fort de Vaux Vu d'avion en septembre 1916

Malgré le froid persistant, une seconde offensive, lancée le 15 décembre, permettra de dégager verdun à l'est de la Meuse. Le succès est grand : plus de 11 000 prisonniers dont 300 officiers.
Le 18 décembre, l'ennemi a perdu tout le terrain qu'il avait mis cinq mois à conquérir !

Visions d'histoire, le grand film de Verdun (1928) Une patrouille dans la neige... Carte des fortifications de Verdun (cliquez sur la carte)
Visions d'histoire Patrouille dans les environs de Verdun Les fortifications de Verdun
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