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  • Du 17 mars au 1er avril, le régiment va être constamment sur la brêche, poursuivant l'ennemi qui se replie sur Saint-quentin. Les hommes souffrent des intempéries et du froid, dans des pays dévastés par l'ennemi...

  • Le 11 mai, le régiment quitte la région de Saint-Quentin pour aller vivre encore de dures journées dans le secteur du Chemin des Dames. Désormais, plus de trêve. L'ordre est formel : " Il faut tenir coûte que coûte"...

    On tiendra un long mois, attaquant ou attaqué constamment, sans dormir, presque sans manger et sans boire, pêle-mêle avec des cadavres et soumis d'une façon continue au bombardement par obus et engins de tranchée le plus effrayant que le Régiment ait jamais subi. C'est avec soulagement, le 26 juin, que commence la relève et le 28 au soir, tout le régiment gagne la région de Jouaignes...

Affiche 1917 _ cliquez pour agrandir

Les prisonniers

Le repli allemand mars 1917 Le Chemin des Dames Excelsior _ défilé du 14 juillet 1917 Le moral des troupes en 1917 La bataille de la Malmaison le 23 octobre 1917 A Paris en décembre 1917 Extrait de l'historique du 140ème RI (année 1917)
Mars 1917 Juin 1917 14 Juillet 1917 La Madelon la Malmaison A Paris Histo. 1917
  • Intoxiqués par une propagande néfaste, les hommes sentent leur confiance diminuer. Aussi la période est-elle employée par le commandement à combattre ce mal, par une reprise de l'instruction et l'organisation de fêtes de bataillon...
    Le 14 juillet, le régiment, participe à la revue des étendards à Paris.

    Maximin est cité à l'ordre du Régiment le 20 août.

  • Pour exorciser l'horreur du Chemin des Dames, Pétain songea alors à lancer dans l'Aisne une offensive victorieuse dont il attendait un grand choc psychologique sur le moral des troupes. Le 23 octobre, à 5h15, l'attaque se déclenche de manière parfaite et le succès est indéniable !

    Du côté français, le moral remonta considérablement et, le 10 novembre, a lieu à Soissons une prise d'armes impressionnante au cours de laquelle le général PETAIN accroche la fouragère aux couleurs de la croix de guerre au drapeau du régiment.

  • Le 11 novembre, le régiment part dans les environs de Paris pour y goûter un repos bien mérité. Puis, retourne dans le Soissonnais et débarque le 20 décembre au camp de Sainte-Tanche...

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